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Alors, comment est-ce que j’écris ? Déjà, ça se fait de nuit. En disant ça, je me rends compte qu’il y a plein de trucs que je pourrais dire sur le fait que j’aime la nuit et que je vais probablement réserver à un futur post. Dans le cas qui nous concerne ici, ça se résume en tout cas à pas avant minuit. Avec quand même une exception : le post de Noël, où les calculs et la mise en forme ont demandé quelques jours.

Après, il faut du temps. Parce que je mets longtemps à écrire : mon idée est généralement présente rapidement, mais ça me prend un long moment pour la retranscrire en mots, puis encore plus pour peser chaque mot, chaque tournure de phrase (c’est d’ailleurs en partie ce qui fait que m’exprimer à l’oral est une gageure). Il y a aussi le fait que je n’arrive pas à rester un long moment sur la même chose (ça aussi, faudra que j’en reparle) : il faut que je coupe ma rédaction régulièrement pour attirer mon attention sur autre chose, même de manière très brève.

S’en suit une, deux voire bien plus de passes de relecture, toujours à analyser ce que j’écris, à me demander s’il ne faudrait pas le tourner autrement, si ce mot est bien celui qui est le plus adapté. À ce moment-là, la nuit est généralement bien avancée et je commence à douter sur mes capacités cérébrales (encore plus que d’habitude, en tout cas). Du coup, la dernière relecture n’a lieu qu’après avoir dormi, puis la publication suit.

Des publications qui parlent de quoi, du coup ? Regardons le nombre d’articles par catégories : quelle surprise, ce sont les catégories Mathématiques et Astronomie qui arrivent en tête ! En troisième arrive mon cerveau : vaste sujet d’étude s’il en est et ça risque d’être encore plus le cas d’ici quelques temps.

Et tout ça pour qui ? Hé bah, je sais pas 😀 ! Comme pour la grande majorité des trucs persos que je développe, je n’ai pas mis en place de module d’analyse du trafic (pourtant, ça devrait prendre environ trois secondes à faire pour un WordPress). Du coup, je ne sais pas si ce que j’écris est lu ou pas. Je me doute bien que oui (d’ailleurs, tu me lis en ce moment 😉 ) mais je laisse le doute planer.

Ce post est beaucoup trop sérieux et je ne sais pas comment le finir, voici donc un calembour : Saturne, ça t(o)urne (pardon).

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